Chante Rossignol... [Pv Miki]

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Chante Rossignol

PV : Miki

https://www.youtube.com/watch?v=P3dZmTeWOaU&feature=related
[evidemment faut prendre qu'a partir du moment ou chante Cendrillon^^]

Cher journal, aujourd'hui n'était pas une mauvaise journée bien qu'elle aurait pu l'être vu comment elle a commencé.
Aujourd'hui je bénéficait d'un jour de congé. Enfin les médecins m'avait ordonné de me reposer une journée. Pourquoi? Pour ma santé fragile disent ils. Stupide! Je vais bien. Du moins physiquement. Qu'est ce qu'il croient hein? Que je vais m'éffondrer comme une pauvre grand mère qui ne saurait plus marcher? Je remplis bien mon contrat a ce que je sache non? Yubaba ne s'est jamais plainte de moi si? Ben non alors qu'ils se taisent eux. Ils n'ont rien compris. Si je travaille je ne pense pas et c'est préférable. M'enfin, ce matin je me suis reveillée vers 10h. Grasse matinée mais j'étais bien obligée pour meubler le temps.
Alors levé 10h, a 10h30 je suis descendue aux cuisines pour manger et la je me suis fait proprement renvoyer. Déja que je ne mange pas alors si les cuisinière me donnent pas a manger, qu'est ce que je vais devenir? Un squelette sur patte?
Bref je me suis fait renvoyer alors je suis partie en pleurant comme d'habitude. Sauf que je ne suis pas allée dans ma chambre mais je suis sortie.
C'était une magnifique journée aujourd'hui! Grand soleil, aucun nuage et une temperature parfaite. Alors je me suis assise en tailleur dans les jardins. C'était l'endroit ou je me sentais le mieux dans cette cité. La natuire, le grand air, les animaux, les fleurs... Tout ca était mon environnement et pas la ville ou cette cité qui réussissait a me mettre hors de moi. Alors j'ai pleuré. Encore et toujours. Je n'avais personne a qui me confier. Bien sur il y avait Änsel, la fille qui partageait la chambre avec moi mais bien qu'on s'entend bien, ce n'est pas franchement le grand amour entre nous. Ne nous voilons pas la face hein. Personne ici ne veux de moi. Au moins j'avais plus de chance avec les animaux. tout ca me rappelle les contes que ce vieux monsieur me racontait alors une chason me revint en mémoire. Une chanson d'un conte d'un grand conteur.

-Chante rossignol chante, chante rossignol chante, dans la nuit...

Pendant un long moment je chantai ainsi, les larmes coulant sur mes joues mais ca je ne m'en apercevais meme pas tellement j'étais dans ma chanson. C'était comme si le temps s'était arrété. Finallement, au bout d'un long moment je m'arretai et écoutai la nature. Ce n'est qu'a ce moment la que je sentis une présence. Quelqu'un me regardait....

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De bon matin, je me promenai tranquillement, le soleil au rendez-vous, moi pauvre jeune louve avec mes 11 mois si je me souviens bien ! J'étais assez épuisé j'ai marché toute la nuit, et deux jours entiers auparavant ! Et soudain à l'ombre d'un arbre je m'évanouis perdu entre quelques buissons de fleur magnifique, un bouquet de couleurs qui sentait bon le parfum de la nature. Le soleil perçait les branches de l'arbre et venait chauffer ma fourrure blanche, salle, et faisait refletter mais reflet bleu sur tout mon poil. Ma tache brillait tel du sang, mais je pouvais sentir une harmonisation de sa couleur rouge avec les autres qui m'entouraient, cela m'appaisait plus qu'autre chose. Soudain j'entendis des pas et une petite voix gémissante. Cette voix, je ne la connaissais pas, elle pleurait ; je pû appercevoir le visage d'une jeune fille qui aavait l'air déprimé ! Cela me surpris, carpour moi les humains n'étaient jusqu'à présent que des machines à tuer, sans pitié. J'ignorais jusqu'à ce jour, qu'il pouvait ressentir la douleur. Quand soudain elle se mit à chanter. La chanson s'élevait dans toute la petite partie du jardin où nous étions. Les oiseaux l'avaient rejoins pour chanter avec elle ! Le chant était magnifique, il donnait envie d'y ajouter son cri même si il n'était pas des plus beaux ! Quand soudain, un rayon de soleil éclaircit son visage plein de larmes. Elle était belle, elle avait des mèche brune dans sa chevelure blonde qui lui donnait un aspect de déesse malgré qu'elle n'était qu'une simple humaine. La voir avait adoucit ma rage de la tuer ; la douceur de son visage était agréable à sentir et ses yeux d'un vert si profond et si beaux qu'il donnait envie de tout le temps le regarder. Je fermis les yeux un instant pour écouter son chant s'envoler dans les airs, un vent léger m'hérissa le poil, un grand frisson me parcouru. je rouvris les yeux, la larme à l'oeil, cela faisait longtemps que je n'avais pas pleurer, mais je ne pouvais m'en empecher. Pendant ce cours instant où je la regardais à nouveau, j'ai pensé :

"Que j'aurais voulu la voir sourire" !

Elle méritait de sourire avec ce visage qu'elle avait, quand soudain son regard se posa sur les buissons où j'étais chachée, comme si elle avait compris que je l'observait. Je cru apercevoir un sourire en coin de ses lèvres mais je n'en suis pas sur. Elle se leva et s'approcha des buissons, je reculai doucement, J'avais trop peur d'affronter son regard, mais elle me découvra, je baissa les yeux pour ne pas la regarder, je tremblais de tous mes membres...

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Je posais mes yeux sur un des buissans qui m'entouraient. je ne savais pas pourquoi mais j'étais persuadée que celui ou celle qui m'observait ce trouvait la. Alors je me levais. je n'avais pas peur. je n'avais jamais peur moi. On pouvait tout me repprocher sauf le manque de courage. Tout ce que j'avais vécu m'avais au moins enseigné ca : le courage.
Alors je m'approchais du buisson en question et tendis les bras pour écarter les longues feuilles vertes et c'est alors que je tombai nez a nez avec... un loup! J'ouvris grands les yeux de surprise! Je m'attendais a tout sauf a cela! Un loup dans la cité de Yubaba? Ca alors! Moi qui croyais que les animaux fuyaient a tout prix ce lieu... Je tombais des nues la.
Ce loup, enfin j'optais plus pour une louve était d'une blancheur nette si seulement son pelage n'avait pas été crasseux. Elle n'était pas très grande et ne devais pas etre très agée. Mais tout ca je le supposais, je n'en étais pas sur du tout. Et chose bizarre, cette louve tremblait de tous ses membres. Je ne pensais pas qu'un jour on puisse avoir peur de moi. Je n'avais pas une allure agressive et d'ailleurs tout le monde profite de mon air naif. Alors pourquoi avait-elle peur de moi? En tout cas, moi je n'avais pas peur d'elle!
Je m'accroupis pour me mettre a sa hauteur et lui fis un sourire pour la rassurer. Mes larmes s'étaient stoppées dès que j'avais découvert la louve.

-Bonjour toi! N'ai pas peur de moi. Je ne te ferais pas de mal, tu peux me faire confiance.

J'avancais derrière le buisson car si quelqu'un m'apercevait dans cette position, on se serait demandé ce que je faisais ou pire, ils se seraiten inquiétés de mon état de santé. J'avancais donc pour me cacher et m'asis a coté de la louve posant lentement ma main sur son flanc. Puis une fois qu'elle eut acceptée de contact de ma main, je me mis a la carresser gentillement et lentement, faisant des allers et retours continu. Au bout d'un petit moment, je repris la parole pour cette fois ci me présenter.

-Je m'appelle April et je suis hôtesse dans la cité de Yubaba meme si je la déteste. J'ai été forcé en fait...

Je me tus, consciente d'en avoir dit trop. En même temps j'avais besoin de parler a quelqu'un et cette louve était la seule alliée que je rencontrais depuis que j'étais entrée au service de Yubaba. Je levai les yeux et vis deux aigles rayaux planer au dessus de nous deux alors les larmes me remontèrent aux yeux et je me mis a pleurer une seconde fois dans la journée. Je pleurais longtemps et une fois que mes pleurs se calmèrent je begayai :

-Tu... Tu en as de la chance d'être... d'être libre...

Je venais d'avouer mon secret le plus profond a une louve que je ne connaissais même pas mais je ne sais pas pourquoi, je lui faisais confiance...

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Je n'osait toujours pas la regarder ! Elle s'accroupit pour se mettre à ma hauteur, et me fit un grand sourire. Je fus très surprise, cela me rassura et pour moi c'était comme un rayon de soleil qui traversait ma tête pour effacer mes idées sombres, et ce passé qui me hantait. La voir sourire m'avait redonner espoir et son sourire... ce sourire... qu'elle m'offrait, je ne l'avait pas vu depuis longtemps. La dernière fois c'était quand ma meilleure amie me disait :

"- Miki... Miki... Miki profites de la vie à fond, nous ne vivons qu'une fois, pas deux !"

Et c'est là qu'elle me faisait un grand sourire.
Je revint à la réalité quand j'entendis la voix de la jeune fille me dire :

- ... Je ne te ferais pas de mal tu peux me faire confiance !

A priori je n'avais pas dû écouter le début de sa phrase mais tant pis, pour moi son sourire valait beaucoup plus ! Elle me donna son prénom, un prénom très jolie d'ailleurs "April" ! Si je me souviens bien de mon anglais, april veut dire avril et l'avril est la saison où le printemps revient, ça ne pouvait donc qu'être une magnifique jeune fille !
Elle passa sa main dans mon poil salle, cela n'était pas désagréable, je la laissai faire. Elle avait une main chaude cela m'appaisa plus qu'autre chose, quand elle leva les yeux, je décidai de les levés aussi et je vis deux aigles royaux voler au dessus de nous. Elle reprit la parole tout en se remmettant à pleurer. Elle me disait que j'avait de la chance d'être libre, à son visage on aurait dit qu'elle venait de dire son secret le plus lourd. Je pris ça pour un signe de confiance en tout cas. Je me leva en forçant sur tout mes membres et même si j'avais le poil salle, j'avais envie de la réconfoter comme elle venait de le faire pour moi, je décidai donc de me frotter à elle, je passai ma tête sous son cou et j'émis une sorte de ronronnement, comme si j'étais un chat. Ma voix n'était pas très grave, mais elle n'était pas non plus aigu, elle n'était particulièrement douce mais j'espérais quand lui donnant mon prénom cela lui redonnerait le sourire, je pris donc la parole et lui dit :

- Je m'apelle Miki !

Elle me regarda étonnée, je lui fis un sourire et continua à me frotter à elle, pour moi c'était signe que je pouvais lui faire confiance, et je crois que ça l'appaisa un peu car je senti ses mains s'enrouler autour de mon cou...

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La louve commenca a se frotter contre moi et mes larmes s'arretèrent petit a petit. Elle me donnait son énergie et sa joie de vivre. Elle s'appellait Miki. je trouvait que cela lui allait plutôt bien. C'était un prénom doux sans l'être trop, un prénom qui correspondait a quelqu'un de gentils et cela lui allait a la perection. J'enroulais ensuite mes bras autour du coup de la louve blanche et restai ainsi pendant quelques minutes. J'étais appaisée comme si plus rien ne pouvait m'atteindre comme si j'étais complètement déconnecté de la réalité et donc je ne me trouvais plus dans la cité de Yubaba.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin alors je retirais mes bras du cou de Miki et lui murmurait un remerciement a l'oreille.

-Merci Miki...

Voila que j'étais ressourcée pour quelques semaines! Je ne devrais plus pleurer. Alors un sourire se fit sur mon visage. un vrai sourire. Un sourire que j'avais perdu depuis bien longtemps et Miki avait réussi a me le redonner. Mon humeur remonta en flèche. Je redevenait April le courant d'air qui ne demandait rien a personne. Qui procurait le bien mais qui ne cherchait pas de retour or la c'était ce que je venais d'avoir. Mais ca ne pouvait pas etre mal une fois de temps en temps? Si?
Ce n'était seulement que maintenant que je m'apercevais la bizarerie de la scène. Que faisait un loup a l'interieur même de la cité de Yubaba? Il n'était pas censé etre la. Alors je dis à Miki d'un air étonné :

-Mais alors, que fais-tu ici?

Je saisi délicatement une feuille morte dans sa main et la déchiqueta tout en suivant les rainures. Un jeu que je faisais tout le temps lorsqu'e j'étais petite mais parfois les habitudes ne se perdent pas!

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Se frotter contre la jeune demoiselle devait être vraiment une bonne idée ! Ca avait l'air de lui avoir redonné courage ! Mais il fallait bien à un moment ou à un autre que cette instant s'arrête et April avait fini par enlever ses bras de mon cou, et elle m'avait murmuré à l'oreille, un petit "merci" accompagné de mon prénom, cela me fit énormément plaisir. Elle avait l’air de meilleure humeur, qu'un nouveau sourire apparaissait sur son visage, que je lui rendit d'ailleurs. Nous restions un petit moment comme ça à nous regarder le sourire aux lèvres pour elle, et le sourire aux babines pour moi !
A ce moment là elle pris un air étonné, qui m’a surprit, et elle me demanda :

- Mais alors, que fais-tu ici?

La question fut rapide, courte, direct et légère, comme si un coup de vent tranchant passait ! J’avais l’impression d’avoir perdu tout contact avec elle ! Mais après tout ça question n’était pas vraiment idiote, je l’aurais même appelé « question piège », parce qu’à la vérité moi non plus je ne savais pas comment je m’étais retrouvé ici ! J’avais marché, marché et j’étais arrivé à l’ombre de cet arbre entre deux buissons ! Je ne savais pas quoi lui répondre alors je lui est tout simplement dit :

- Je ne sais pas ! Désolé !

Et je me suis excusé, allez savoir pourquoi ! C’est vrai pourquoi me suis-je excusé est-ce parce que j’étais là et que je n’avais pas le droit ou était-ce parce que j’avais engagé la conversation avec April et que je n’aurais pas dû ? Je n’en savais rien, et j’espérais qu’une chose que ce soit elle qui me donne la réponse…

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Pourquoi s'éxcusait-elle? Miki n'avait pas a s'éxcuser. Elle avait le droit d'être ici après tout! Enfin peut être pas mais quelle importance? La louve blanche avait réussit a me redonner le sourire alors qu'importe! Je n'avais rien a faire des ordres de Yubaba. Elle m'avait privée de ma liberté alors franchement, j'en avais rien a faire! Surement qu'elle savait que j'étais la en compagnie d'une louve qui n'aurait pas du être la et alors? Elle me laissait faire et c'était la moindre des choses tout de même!

-Tu n'as pas à t'excuser. Je suis heureuse que tu sois ici. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi...

Je lui sourit puis lacha la feuille que j'avais déchiqueté. Puis je glissais une de mes mains dans sa fourure et jouais avec ses poils. Je continuait mon jeu assez longtemps et lorsque je levais les yeux vers le ciel, je m'apercut que la nuit commencait a tomber. Je me levai d'un coup, sans prévenir, puis m'apercevant que je n'avais aucune obligation ce soir, je me rassis et murmurai une excuse.

-Désolé de m'être levée comme ca...

Je la regardai tout en me disant que ce serait un déchirement lorsque Miki partirait.

-Au fait, tu veux quelque chose a manger? Je peux aller en chercher dans les cuisines si tu veux.

Je me mis accroupie, prète a aller chercher un truc dans les cuisines si la louve blanche le désirait.

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La réponse que j'espérais ne m'avait pas été donné mais April m'avait dit que le fait que je sois ici la rendait heureuse. Cette simple phrase avait fait battre mon coeur, car dans ma famille en plus de mon pouvoir cacher j'avais compris que j'avais été non-désiré de mes parents seul mon frère ainé m'avait accepté et pourtant aujourd'hui je veux plus l'éviter qu'autre chose. La nuit commençait a tombé et soudain elle se leva, d'un bond mais après quelques reflexions, elle se rasseya comme ci ça l'importait peu de ne pas rentrer masi pour moi c'était différent si je ne rentrais pas je pouvais être banni de la tribu de Morro, cela m'embêterait parce que toute seule je ne saurais où aller. Morro veille sur nous comme ci nous étions ces propres enfants et "l'enfant louve" comme on l'appelle ou "la princesse Mononoké" est très gentille avec nous car elle aime la nature et refuse qu'elle soit détruite. Je n'avais pas le droit de leur faire faut bon après tout ce qu'ils avaient fait pour moi, mais je n'ausais pas le dire à April et puis j'étais si bien avec elle !
quand soudain elle me posa la question :

- Tu veux manger quelque chose ?

Et c'est là que je me suis dit que je devrais lui dire la vérité, elle qui était venu me réconforter et me donner un petit sourire. Alors soudain mes venus l'idée qu'on pourrait se revoir. alors je me lança :

- Non merci, c'est bon ! Je dois rentrer je suis vraiment désolé mais si tu veux on peux se revoir demain vers 14h lui ai-je proposer.

Puis une fois qu'elle m'eu répondu, je lui ai dit en revoir, tout bas, en murmurant presque et je suis partie dans un rayon de lune. Quand je me suis retournée pour la voir une dernière fois, elle rentrait dans la maison de Yubaba ou du moins là où elle habitait. Je fis un signe de tête en remerciement et je repris mes pas pour retrouver ma famille ou celle que j'avais en ce moment.

[tu termines ! Parce que je peux plus terminer moi ! et après on fait noter !]

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-Avec grand plaisir Miki! Je t'attendrais ici a quatorze heures précises!

-Aurevoir Miki, a demain...

-PONG!

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